Je suis fibromyalgique, je suis parkinsonien, je suis épileptique… Voilà une drôle de façon de parler de soi !
“Etre” malade ou “avoir” une maladie
Il y a une grande différence entre “être malade” et “avoir une maladie”.
En effet, quand on “est” une maladie, cela veut dire qu’on est une victime et qu’on ne fait que subir, alors que si vous “avez” une maladie cela veut dire, que c’est vous qui tenez les rênes et qui êtes, “en partie du moins”, responsable de ce qui vous arrive au travers de votre façon de vivre, vos pensées, votre alimentation, etc.
Bien évidemment, vous n’êtes pas coupable d’avoir développé la maladie, mais en ayant cet état d’esprit vous devenez responsable aussi de votre guérison. Vous n’êtes alors plus simplement dépendant des médicaments et des médecins, sans comprendre ce qui vous arrive, mais vous avez la possibilité de prendre une part active dans le processus de guérison.
S’identifier à la maladie.
Parler de la maladie comme si elle était vous, pourrait signifier plusieurs choses :
• Vivre au travers du regard des autres.
La maladie peut-être inconsciemment cultivée, afin d’avoir un retour positif de l’extérieur. Quand une personne est isolée par exemple, il arrive parfois qu’elle ait des comportements et des pensées complètement inconscients comme :
“Je peux aller mieux, je le sais, mais si c’est le cas je vais perdre toutes ces personnes qui s’occupent de moi”
Ou encore,
“je suis malade, je souffre, mais au moins j’ai du monde autour de moi”.
Dans ce cas, même si la personne tente diverses approches pour aller mieux, elle va systématiquement s’autosaboter afin de ne pas se retrouver à nouveau seule.
• La peur du regard des autres face à la maladie.
Les personnes qui ont peur du regard des autres face à leur maladie vont s’isoler, se couper du monde, ce qui aura pour conséquence, qu’elles n’auront pas accès aux solutions pour aller mieux. Ces personnes sont tellement “enfermées” dans la maladie, qu’elles refusent tout ce qui pourrait leur apporter du bien-être.
Le parcours du combattant
Pour certaines maladies comme la fibromyalgie, la maladie de lyme et bien d’autres encore, les diagnostics sont difficiles à poser. Les personnes en souffrance naviguent de médecin en médecin sans résultat.
Ce parcours du combattant représente énormément de temps et d’énergie, qu’elles ne peuvent pas utiliser pour chercher des solutions afin d’aller mieux.
Quand finalement le diagnostic est posé, bien souvent la personne est sonnée. Elle va chercher des informations sur internet et après avoir lu une multitude d’explications pour la plupart négatives, elle va acquérir la certitude que rien ne pourra l’aider et qu’elle ne s’en sortira pas. Elle se tourne alors, vers des personnes ayant la même maladie et se trouvant dans le même état psychologique.
Malheureusement, lorsqu’on ne va pas bien, on a besoin de personnes qui vont nous aider à aller mieux, qui vont nous tirer vers le haut parce que l’évolution d’une maladie, se fait aussi en fonction des personnes qui nous entourent.
Une personne positive vous tire vers le haut alors qu’une personne négative va vous tirer vers le bas.
Vous n’êtes pas une maladie, vous êtes une personne unique !
Vous n’êtes pas une maladie vous êtes unique, mais celle-ci peut être l’occasion de changer vos habitudes, vos fonctionnements, vos relations, vos désirs, c’est-à-dire de prendre la décision de modifier tout ce qui a contribué à faire votre corps se retourner contre lui-même.
Cette occasion, vous donne le choix de continuer à subir cette maladie pour garder les bénéfices qu’elle peut éventuellement apporter, ou alors vous faire aider pour aller mieux.
Il existe diverses “thérapies” pour accompagner les personnes malades et parmi celle-ci il y a l’hypnose.
L’hypnose est un outil naturel, qui peut vous permettre de vous soulager physiquement mais également de changer de point de vue afin de retrouver votre véritable identité et votre vie.
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A bientôt,
Hélène